Qu’est-ce qu’on entend par BLESSURES EMOTIONNELLES ?
Ce sont toutes les souffrances, ces émotions négatives ressenties après un traumatisme vécu. Des traumatismes qui peuvent avoir été subis pendant notre enfance mais aussi notre vie d’adulte et parfois même, tout au long de notre vie.
De quels genres de traumatismes s’agit-il ?
- Le deuil d’un parent pendant notre enfance,
- La malveillance d’un parent ou d’un beau-parent,
- Une relation amoureuse compliquée,
- Des abus, des violences conjugales,
- Des violences psychologiques, de l’intimidation, des remarques blessantes, humiliante. Un simple mot peut venir nous percuter de plein fouet. Tout comme les petites phrases brèves mais assassines, pernicieuses, qui nous blessent au plus profond de nous-même !
- Le sentiment d’abandon, de rejet,
- Et même une prise de poids trop importante pour nous peut nous impacter dans l’image que l’on a de nous.
Par conséquent, qu’est- ce qu’il se passe ?
Un mal-être sournois s’est immiscé en nous, discret mais bien présent : la dévalorisation.
- On se sous-évalue,
- On se compare aux autres : « Qu’est-ce qu’elle a de mieux que moi ? « Qu’est-ce que je fais de moins bien », « Je ne suis pas à la hauteur ! »,
- On se fait des reproches: « Je suis nulle », « Je ne comprends rien », « je ne suis pas assez intelligente », « je ne sais pas aimer », « je ne suis pas assez gentille, assez intelligente, assez bien… pour être aimé(e] », « Je suis moche », tout y passe !
- On doute de ses capacités, incapable de reconnaitre nos compétences et nos qualités, ne voyant que nos faiblesses,
- On n’ose pas dire non, ce qui nous entraine dans une dépendance affective que nous ne voyons pas au premier abord puisque notre souffrance est invisible, nous n’en avons pas encore pris conscience,
- En fait, il nous manque L’ESTIME DE SOI.
Ça vous parle ?
C’est le regard que l’on porte sur soi-même, sa valeur et sa propre importance.
Quand on manque d’estime de soi, ce regard est malveillant et, par conséquent, entraine avec lui des difficultés à affronter la vie et ses embûches, ses « emmerdes » comme les appelle Fabrice Midal dans son « Traité de morale pour triompher des emmerdes ». La relation avec les autres peut devenir difficile, voire insurmontable pour certaines et donc la relation avec le monde. Ce dernier n’est pas des plus tendre aujourd’hui. L’isolement, le déni, ne rien dire pour ne pas faire de mal aux autres, peuvent sembler être un refuge mais ce n’est qu’une illusion.
Un jour, il est bon de savoir accepter l’aide, la main tendue qui nous est offerte ou la petite lumière qui s’allume dans votre tête, une intuition qu’il est temps de changer, de faire le premier pas vers la transformation pour vivre sa vie, épanouie.
La naissance de ma fille avait déjà réveillé des choses en moi, mais des réflexions blessantes, familiales ou professionnelles ont mis à mal ma conscience. Ne plus continuer à subir était devenu une question de santé, une envie de pouvoir me regarder sans me juger. J’avais 58 ans. Autant dire, il était temps !!!
Désemparée après mon burn-out, je me suis interrogée comme tout un chacun dans ces moments de remise en question.
D’une : « comment en es-tu arrivée là ? »
De deux : « qu’est-ce que tu désires maintenant ? »
Et enfin : « comment tu vas t’y prendre ? »
À mon âge, tout semblait plus compliqué.
Pour moi, juste pour moi, et pour ne pas rester inactive pendant mon arrêt, puisque j’aime la langue française, j’ai décidé de m’inscrire au Certificat Voltaire pour connaitre ma valeur en orthographe et en grammaire.
Découvert au hasard de mes recherches sur d’autres sujets sur Internet, je me suis lancée ce premier défi. Et surprise, je ne m’en suis pas si mal tirée que cela puisque j’étais en limite de l’expertise par rapport à ma note.
Néanmoins, cela n’a pas suffi à apaiser mes peurs ni mes doutes sur le fait de devoir retourner à un poste de travail qui ne me convenait plus puisque je ne m’y reconnaissais plus.
Ce que je souhaitais ardemment, c’était aider les autres, plus particulièrement les femmes, il est vrai, à sortir de l’emprise de leur passé ou leur présent pour accéder à leur épanouissement, pouvoir se dire : « je rêvais de vivre ça, je l’ai fait et je suis totalement transformée ». Ce qui va perturber notre entourage, voire nos amis, mais le plus important n’est-il pas de se retrouver, de faire ses propres choix et de ne plus accepter tout et n’importe quoi pour se sentir aimer en répondant aux attentes des uns et des autres ?
J’ai repris la lecture avec de nouveaux titres mais aussi avec un dont je connaissais le contenu. Acheté il y a vingt ans de cela, je ne l’avais pas exploré à fond, sans doute pas prête encore à ce moment-là : Le Feng Shui en 10 leçons de Jane Butler-Biggs, livre découverte qui présente les principes fondamentaux du Feng Shui, « cet art vivant et actuel au service du bien-être, du bonheur et de l’harmonie ».
Je cherchais déjà des solutions à mon mal-être qui, sans le savoir, durait déjà depuis quelques années et dont la mémoire s’est ravivée au fil des chocs émotionnels encaissés.
Instinctivement persuadée que ma maison pouvait me venir en aide à ce moment-là, j’ai relu tous les conseils donnés mais ne me sentant pas en capacité de l’appliquer seule, j’ai demandé une expertise Feng Shui de ma maison pour mon anniversaire qui tombait pile poil.
Cependant, cette philosophie de vie, voire le mot même de Feng Shui, n’étant pas très répandus en France et laissant ma famille dubitative, je n’ai pas reçu cette demande en cadeau.
Et pourtant, je tenais dur comme fer à faire analyser ma maison.
Alors après une nuit de réflexion à retourner la question du « comment faire pour avoir cette étude », je me suis décidée à faire la formation de consultant en Feng Shui afin de comprendre ce qui n’allait pas dans ma vie par le biais de ma maison.
Fan de déco et ayant travaillé dans ce domaine, impliquée dans le bien-être de mes locataires comme dans la santé des clients de la pharmacie, je retrouvais là toutes mes compétences que je n’avais pas soupçonnées le moins du monde pour exercer ce nouveau métier.
Autant dire que la maison et le bien-être de ses habitants me parlait à merveille. Et c’est exactement ce que j’ai étudié lors de ma formation en Feng Shui : la combinaison santé-bien-être-épanouissement des habitants, le cocktail gagnant pour vivre une vie épanouie, celle dont on a envie.
C’est ainsi que je me suis passionnée pour cet art de vivre qu’est le Feng Shui auquel s’est ajouté, comme une évidence, la géobiologie, discipline qui permet d’étudier l’influence des phénomènes naturels sur le vivant, donc les habitants, une sorte de « médecine de l’habitat ».
À ces deux disciplines s’en est ajoutée une autre que je n’avais pas vu venir : le Feng Shui de l’humain qui étudie l’impact de toutes les croyances, la façon dont nous avons été éduqués, nos conditionnements, les influences négatives, etc. Pour ceux et celles de ma génération, on pouvait entendre des « il faut que tu passes les concours pour être fonctionnaire, tu auras un travail à vie » ou satisfaire les parents en suivant les mêmes études de médecine que son père alors que nous avions envie d’être menuisier, sentir la valeur du bois, son odeur, sa transformation.
Mais aussi prendre conscience des abus subis et tus volontairement ou non, par peur du « on ne va pas me croire » ou des qu’en dira-t-on ? », des dénis, l’influence que telle ou telle idée ancrée dans notre cerveau est forcément la bonne puisque c’est ce qu’on a nous appris !
Tout ce que l’on nous a inculqué dans notre enfance, en fait.
Tout ce travail de reconstruction m’a permis :
- De changer le regard sur moi,
- D’apprendre à avoir de la considération pour moi,
- À me respecter mais aussi à me faire respecter,
- M’autoriser enfin à dire non,
- M’apprendre à m’aimer.
D’où le sous-titre de mon livre « Maman, faut’qu’te raconte ! » L’importance de s’aimer.
Car oui, au sortir de cette formation, je n’ai pas souhaité tout de suite démarrer mon activité de consultant en Feng Shui. J’ai plutôt ressenti l’immense besoin d’écrire mon histoire, sous forme d’un dialogue avec ma maman, partie bien trop tôt.
Lui raconter ce qu’elle n’avait jamais su avant son départ et tout ce qui s’est passé après.
Par toute cette remise en question de moi-même et avec l’aide de ma maison que j’ai harmonisé, j’accédais enfin à la résilience.
Cette résilience, heureusement possible à tout âge, permet de retrouver l’estime de soi, perdue ou peut-être jamais ressentie, permet de sortir de ce sentiment infernal d’infériorité qui nous tire vers le bas.
L’épanouissement est possible.
Et c’est vers cette nouvelle activité que je me tourne désormais pour vous transmettre Ma méthode pour retrouver l’estime de soi en transformant son habitat :
- Vous montrer le vrai visage de votre maison, reflet de vous-même et de vos émotions,
- Le transformer en un lieu sécurisant et ressourçant,
- Vous aider à combattre ces émotions négatives qui vous envahissent en travaillant sur les secteurs concernés dans votre habitat,
- Pour vivre la vie dont vous avez envie et ainsi VOUS ÉPANOUIR.
Votre maison est votre meilleure alliée pour avancer dans la nouvelle direction que vous souhaitez prendre.
Nos émotions se trouvent dans nos maisons. Prenons soin de ne pas enfermer les mauvaises et attelons nous plutôt à faire circuler les bonnes.
N’hésitez plus, transformez vous !
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